“Le sujet exposé dans ces méditations est d’une utilité universelle, je dis universelle, d’une façon absolue, sans exception ni distinction. Il s’agit, en effet d’apprendre à l’école de Jésus mourant la science de souffrir et la science de mourir. Quel est l’homme au monde qui puisse dire : “Je n’ai pas besoin de savoir à fond ces deux choses”.
Quand ces pages autont été savourées dans leur austère et nutritive substance, qui ne sentira le besoin de s’associer à l’auteur pour remercier avec lui le Sauveur Jésus “d’avoir voulu compatir ainsi aux souffrances de la pauvre créature humaine qui ne voit plus rien, ne sait plus rien, ne compte sur personne, et n’attend plus ni remède, ni soulagement, ni consolation ?”.
Qui ne le bénira d’avoir, sur sa croix, jeté “un cri dont l’intensité montera plus haut que la voix des désespérés, et qui, jusqu’à la fin des temps, sera comme le bouclier des blasphèmes humains ?”. Adolphe-Louis, Evêque d’Autun.
“Je ne crains pas de l’affirmer, la méditation assidue des sept paroles de Jésus en croix suffirait à convaincre ceux qui ne croient pas, à consoler ceux qui souffrent, à rendre l’espoir aux désespérés, mais par dessus tout à transfigurer notre mort.
Ecoutons avec un recueillement profond les sept notes divines que la voix mourante du Christ a jetées à travers tous les siècles, plus loin que tous les espaces, et qui porteront jusqu’aux dernières profondeurs de l’éternité les vibrations de l’Amour infini”. Abbé Perraud. 312 pages.